Une première jurisprudence, une première victoire

« Les féministes me persécutent, comme si c’était d’ma faute si les meufs c’est des putes ». La condamnation du rappeur Orelsan, le 31 mai 2013, à 1000 euros d’amende avec sursis pour injure et incitation à la violence à l’encontre des femmes est une première historique. Cinq associations avaient porté plainte. Toutes se sont déclarées satisfaites de la décision du tribunal correctionnel de Paris, signe encourageant du recul de la tolérance à l’égard des violences et propos sexistes. Il est temps d’affirmer que la liberté d’expression artistique ne peut outrepasser le respect de la dignité des femmes.

Maëlle

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