#VendrediLecture féminisme & pop culture, #PMAPourToutes, consentement
Féminister le #VendrediLecture !
Depuis plusieurs mois, Osez le Féminisme 59 ! publie chaque vendredi une critique littéraire. Le Feministoclic a aussi pour vocation de vous faire découvrir la richesse d’une culture féministe, nous vous proposons donc chaque mois de publier quatre avis sur un livre lu par une militante.
N’hésitez pas à donner votre avis sur les livres, et même, proposer votre propre critique !
Bonne lecture 🙂
L’équipe d’OLF
- Mirion Malle, Commando Culotte – Les dessous du genre et de la pop-culture
Ouvrage de la dessinatrice Mirion Malle qui explore les représentations de genre dans la pop-culture. Avec beaucoup d’humour et de pédagogie, la dessinatrice analyse méthodiquement séries TV et films afin d’identifier les représentations de genre que ces œuvres véhiculent, déconstruisant par là même plusieurs stéréotypes sexistes tout en vulgarisant des concepts féministes importants comme la culture du viol. Ces clichés sexistes ainsi compilés, le livre met en lumière leur omniprésence dans les médias et montre combien la culture populaire nous influence et perpétue les inégalités liées au genre.
- François Olivennes, Pour la PMA
Ouvrage du Professeur François Olivennes, spécialiste de la fertilité et de la reproduction, qui plaide pour l’ouverture de la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes, qu’elles soient en couple ou célibataires. Habitué à recevoir et aider des femmes au quotidien, François Olivennes dénonce les leçons de morale, les mensonges, les caricatures et informations erronées que relaient les opposants à la PMA pour stigmatiser les femmes (en particulier lesbiennes) désireuses d’avoir un enfant.
- Geneviève Fraisse, du consentement
Ouvrage de Geneviève Fraisse, philosophe experte de l’histoire de la lutte féministe, qui explique dans quel contexte lui est apparu la nécessité de conceptualiser le consentement afin qu’il devienne un argument politique. 10 ans après sa publication, cet essai, enrichi d’un épilogue sur « le refus de consentir » est plus utile et pertinent que jamais.